Ce que j’ai pensé de... Pontypool
Pontypool, Ontario. Grant Mazzy, autrefois grande star de la radio nationale, se dirige, comme chaque matin à la station radio de la ville, situé dans le sous-sol de l'église. Il y rejoint Sydney et Laurel, les standardistes. Mais en plein milieu de la matinée, des émeutes font rages dans la région : un terrible virus vient d'être relâché. L'équipe n'a pas le choix : rester dans le sous-sol et informer les populations. Une fois visionné, le film Pontypool, il n’y a que deux solutions : soit on aime, soit on déteste. Il n’y a pas pour ce type de film de sensation médium entre le bien ou le mauvais. La singularité de l’œuvre est au cœur de ce qui crée son originalité. Il faut savoir que le film réalisé par Bruce McDonald autrement connu pour de nombreux téléfilms de seconde zone ainsi que quelques séries qui ne resteront pas dans les annales. Il s’attaque dans son œuvre au roman de Tony Burgess, Pontypool changes everything , qui lui-même a reçu une cri